Baby-sitting surprise ou l'histoire d'une Petite Annonce de baby-sitting pour adulte où la réalité dépassera les promesses

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il y a 4 ans

Baby-sitting surprise ou l'histoire d'une Petite Annonce de baby-sitting pour adulte où la réalité dépassera les promesses

Chapitre 1 - Rencontre sur Internet

Couple baby-sitters (région Chambéry) cherche JH DL aimant être soumis pour lui changer sa couche. Joindre photo. David et Laurence.

Slt, suis intéressé par votre PA. 24 ans sur Lyon célibataire, DL depuis 7 ans.

Pas d'expérience en baby sitting mais aime nouveautés. Photo jointe. A+, Romain.

Bonjour Romain, nous sommes sûrs que tu portes très bien la couche :-)

Nous invitons de temps en temps des gens sympas qui veulent s'abandonner en couches pour quelques heures. Est-ce que tu serais libre vendredi prochain.Nous t'invitons à Annecy pour dîner. Ce sera pour faire connaissance. D & L.

Salut, c'est un peu rapide mais ok si c'est pour faire connaissance. J'attends votre plan. A+ R.

Cette fin d'après-midi, il s'était mis à pleuvoir sur la Croix Rousse. En fermant la porte de son appartement, Romain se demanda s'il devait vraiment aller à Chambéry. Cette invitation est somme toute autant rapide que mystérieuse. En même temps l'excitation liée à l'inconnu ne manquait pas de charme. Il remonta le col de son blouson en cuir avant de prendre les clefs de sa Clio dans la poche du jean.

Le pantalon serré rendait malhabile l'accès aux poches ; Romain sourit en pensant que c'était certainement le vêtement qui permettait le moins de mettre une couche en dessous. Sur l'A43, la pluie de transforma en neige et lorsqu'il arriva à Chambéry vers les 19h30, les rues avaient pris un aspect molletonné. Il trouva assez facilement l'avenue et gara sa voiture juste devant le numéro 13.

Chapitre 2 - Soirée entre amis

Le coeur battant, il appuya sur la touche du vidéophone marqué David et Laurence A...

« - (une voix féminine au timbre chaleureux) Oui ?

  • Bonsoir, euh, c'est Romain. Je viens...

  • Bien sûr, nous t'attendions. Je t'ouvre. C'est au troisième, porte de gauche.»

L'immeuble, bâti dans les années 60, renvoyait une certaine forme de luxe dans les reflets de la pierre polie et des plantes vertes parfaitement entretenues qui ornaient le hall. Arrivé au troisième étage, il fut accueilli dès la sortie de l'ascenseur par une femme d'une quarantaine d'années. Brune, les cheveux relevés sur la tête, les sourcils légèrement accentués d'un trait noir qui soulignaient des prunelles rieuses. Le nez fin descendait sur des lèvres d'écarlate qui ressortaient sur une peau bronzée. Elle portait une robe de soirée, noire, sobre qui laissait les épaules nues. Elle tenait à la main une coupe à moitié vide, s'appuyant négligemment sur le chambranle de la porte.

« - Contente de te rencontrer, très contente... Tu as fait bonne route ?

  • Ouais euh oui, merci. Romain...

  • ... Laurence. Entre ; David vient d'arriver. »

David s'avança au devant de Romain. Grand, plus vieux d'une dizaine d'années que sa femme, il donnait pourtant une impression de puissance. Les cheveux bruns striés de gris coupés courts, la peau imberbe, les mêmes yeux rieurs que sa femme, il portait un pantalon de toile et un polo qu lui donnait l'air d'arriver d'un tennis.

« - Salut Romain, David. Je t'offre un verre ; enlève ton blouson (...) Tiens chérie, merci... Entre (salon cuir sur murs blancs, mobilier moderne épuré). Whiskey ? Vodka ?

  • Whiskey, merci Monsieur.

  • David !

  • Merci David.

  • Chérie, deux whiskies. Regarde Romain, tu peux voir la ville qui s'assoupit sous son blanc manteau. J'aime la montagne en hiver, son froid qui balaye les rues et transforme les passants en simples ombres.

  • Romain...

  • Merci, euh Laurence (sourire).

  • Assieds-toi. »

La conversation se poursuivit d'un ton badin sur Chambéry, Lyon, fleuretant parfois sur des questions plus personnelles concernant le métier et les passe-temps de Romain. L'effet du deuxième whiskey commençait à faire ressentir ses effets. Le jeune homme se sentait beaucoup plus à l'aise, se laissant bercer par la conversation et la chaleur de l'appartement.

Il avait envie d'aller aux toilettes mais ne pouvait se résoudre à quitter la tiédeur du divan. Il pencha la tête vers l'arrière, les bruits se noyaient, la lumière du plafonnier semblait se diluer dans ses yeux ; il ferma les paupières, s'imaginant sur une plage de Thaïlande.

Chapitre 3 - Ailleurs

Le bolide fonce sur lui. Il peut voir à l'intérieur David et Laurence qui boivent du champagne en riant sans s'inquiéter de la trajectoire du véhicule. Romain veut s'enfuir, la voiture se rapproche, mais ses jambes refusent de lui obéir. Il regarde ses pieds et constate avec horreur qu'ils sont pris dans l'asphalte de la route. Le moteur de la voiture rugit...

Romain se redresse brusquement, le souffle court. Tout est noir autour de lui. Il se tourne, s'arrête sur un bruit de crissement. D'instinct, il porte la main vers son bas ventre ; il porte une couche ! Fébrilement, ses doigts explorent les contours de plastique, découvrent les scotchs, descendent entre les cuisses, mesurent l'épaisseur. Maintenant, totalement réveillé, Romain se dresse sur ses deux pieds. Il aperçoit alors le contour faiblement lumineux d'une porte.

Il y colle l'oreille, entend des faibles bruits de voix et de rires. Ouvrir ? Finalement, il cherche l'interrupteur électrique. Une lumière aveuglante envahit la pièce. Celle-ci doit mesurer environ douze mètres carrés, les murs sont blancs sans aucune fenêtre. Le sol est recouvert d'une moquette épaisse grise ; il n'y a aucun meuble.

Romain découvre alors qu'il est entièrement nu nonobstant la grosse couche qu'il porte, qu'il reconnaît être pour une Molicare extra. Bien ajustée à son bassin, elle ne fait que souligner le ridicule de sa situation. Il fait bon dans la pièce pour tant Romain subitement a la chair de poule. Où est-il ? Comment est-il arrivé là ? Où sont ces s... ? L'exploration de la chambre ne lui apprend rien de nouveau et le revêtement du sol étouffe toute source sonore.

Combien de temps reste-il ainsi ? Sortir ? Qui y a t-il derrière ? Se montrer en couche devant deux, celles qui habitent ici ? Soudain, Romain ressent une douleur dans le bas-ventre, une envie pressante d'uriner. L'idée de faire dans le change lui semble encore pire. Quelques minutes plus tard, il s'abandonne complètement ; debout, les jambes écartées, il laisse le flot d'urine envahir la couche. Il lui semble alors que rien ne l'arrêtera. Il sent l'humidité envahir toutes les zones sèches et alourdir la couche.

Les témoins d'humidité sont saturés. Romain a envie de pleurer. M... c'est quoi ce jeu débile. Le temps passe, il entend des bruits qui semblent plus proches. Il s'approche de la porte et l'entre ouvre.

Glissant un oeil, il aperçoit un couloir avec à son bout un escalier qui semble descendre. Personne ! Il se faufile dans le corridor. Première porte : fermée ! Deuxième : fermée ! La suivante est après l'escalier. Un hall, vide... Va t'il descendre s'exposant en seule couche à la première personne qu'il croisera. Finalement, il s'aventure dans l'escalier. Une marche, deux... plus rapidement, il descend le reste de l'escalier et empoigne la porte d'entrée : fermée, pas de clef dans la serrure !

Des éclats de rire le font sursauter. Il se retourne face à une double porte d'où semblent provenir de nombreuses voix. Il s'approche, perçoit des notes de musique « Porcelain », Moby. On doit danser.

Romain s'imagine, ouvrant la porte face à une foule de danseurs qui le découvrent vêtu d'une simple couche comme un petit bébé. D'autant plus qu'en étant de taille moyenne, Romain ne pèse que 63 kilos. L'absence de pectoraux ne fait que renforcer la protubérance de la couche. L'enlever ? Autour de lui, rien ne lui permet de draper son corps ou simplement de dissimuler ses parties intimes.

Il décide d'appeler. Il à la gorge sèche et doit tousser afin d'articuler quelques mots :

« - Laurence ?

  • (plus fort) Laurence ? David ?

  • (plus fort - il lui semble hurler maintenant) David ? Da... »

Chapitre 4 - Initiation

La porte s'ouvre brusquement, David lui sourit.

« - Hello boy, entre. »

Entre... Et David ouvre les deux battants dévoilant à Romain l'intérieur de la pièce tandis qu'une douzaine de paires d'yeux se tournent vers lui en souriant. Hommes, femmes, ils sont tous en couche. Même les femmes ne portent rien d'autre qu'un simple change.

Un grand gars blond est assis sur un canapé tandis qu'une demoiselle entreprenante lui écarte la couche d'un doigt instigateur. Laurence rayonne dans une simple couche blanche, un verre toujours à la main.

Un murmure parcourt l'assistance tandis que tous sourient au nouvel arrivant. Romain rougit, baisse la tête. Une tape sur les fesses le rappelle à la réalité. « - N'aie pas peur. Tu n'as rien à craindre... au pire que ta couche soit changée ! »

Rires.

Une petite rousse d'une vingtaine d'années s'approche de Romain et le prend par la main. Le grand blond s'est levé du canapé, une autre personne place une serviette sur le divan. Toujours accompagné, Romain est délicatement allongé sur la serviette.

« - Je vous présente Romain.

  • Bonjour (...) Salut Romain (...) Belle couche !

  • Romain, je te présente nos amis, tous amateurs de couches comme toi. Certains nous ont rejoints depuis plusieurs années d'autres depuis quelques semaines.

(...)

  • Je crois qu'il faudrait lui changer sa couche. Natacha ? (souriant à la rousse) ou Alexandre ?

(souriant au blond). Romain à toi de choisir...

  • Euh... Natacha.

  • Bien. Maintenant (se tournant vers l'assistance) que mettrons-nous à Romain pour sa première venue parmi nous ?

-- Attends.

  • ID... Molicare...

  • Abriform renforcée !

  • Bien dit Max et de combien ?

  • Deux.. Une... Trois...

  • Va pour trois ! Natacha ? »

Plaçant un doigt sur les lèvres de Romain, Natacha commença à défaire la couche avec l'autre main.

Les scotchs du haut ôtés, elle plongea ses doigts dans la couche et se saisit de son gland. En même temps, elle souffla doucement sur les paupières de Romain, le contraignant à les fermer.

Se penchant alors vers son oreille, elle la mordilla tandis qu'elle appliquait des va-et-vient régulier à sa verge.

Oubliant complètement l'assistance qui l'entourait, Romain s'abandonna au plaisir, gémissant doucement sous les vagues de plaisirs. Soudain, les doigts de Natacha abandonnèrent son sexe et arrachèrent la couche.

« - La suite plus tard... Garde les yeux fermés... »

Il sentit les ongles de Natacha effleurer sa peau puis le contact tiède d'un linge passé sur tout son sexe et sur ses fesses délicatement soulevées. Un bruit de plastique froissé.

« - Lève tes fesses boy...

(...) - Pose. »

Un contact avec une matière épaisse et moelleuse. Son sexe encore tout dur, Romain sent le contact du tissu de la couche qu'on rabat sur le ventre.

« - Expire que je puisse serrer la couche. »

Romain s'exécute. L'un après l'autre, les scotchs sont fixés. Pour finir, Natacha se penche de nouveau vers lui et glisse sa langue entre ses lèvres. Elle sent un mélange de vanille et café et son haleine est parfumée à la cannelle. Elle entoure la langue de Romain et pose la main gauche sur la couche gonflée. Une autre main vient se poser sur sa tête et caresse langoureusement ses cheveux. Sans savoir pourquoi, le jeune homme devine que c'est la main de Laurence.

Il va jouir ou plutôt son sexe va éclater sous la pression ; subitement Natacha se retire.

« - Autre règle de l'initiation... pas de sexe pour la première séance. »

Rire général. Romain se redresse face à un David toujours souriant.

« - De toute façon, il nous faut rentrer. »

D'ailleurs, certains convives ont commencé à se préparer ; des pantalons, des jupes et des tee-shirts font leur apparition. Laurence pose à côté de Romain ses affaires. Celui-ci s'empresse de mettre sa chemise ; lorsqu'il se saisit du jean, Laurence en souriant lui dit :

« - Je ne pense pas que tu arriveras à rentrer tout... » et elle lui donne une salopette en toile marron. Il se glisse dedans et finit de s'habiller.

(...)

Chapitre 5 - Epilogue

Tout le monde se fait la bise et promet de se voir la prochaine fois. Romain suit David et Laurence dans leur BMW. Le trajet de retour est silencieux. Laurence fume cigarette sur cigarette.

« - Tu as aimé Romain ?

  • Oui, oui, j'ai adoré.

  • Il faut nous promettre de revenir alors...

  • (David) Pas de rancune pour le whiskey ?

  • (...) Je crois que j'aime les surprises finalement... »

De retour à Chambéry, David et Laurence déposèrent Romain devant sa voiture et luis souhaitèrent bonne nuit, simplement comme s'ils se quittaient au terme d'un dîner au restaurant. La neige avait fini de tomber, la Clio était recouverte d'une couche épaisse.

Romain reprit l'autoroute ; l'horloge numérique du tableau de bord affichait 00 :47. Glissant sur l'asphalte, Romain mit la main dans sa couche. Immédiatement son sexe se durcit ; il empoigna le gland et le caressant entre le pouce et l'index.

Il ne fût pas long avant qu'un jet de sperme envahisse la couche. Il se sentait bien, serra les cuisses pour mieux sentir l'épaisseur des changes entre ses cuisses et appuya sur l'accélérateur.

(...)Sa bonne étoile lui avait gardé une place pour garer la Clio. Fermant la voiture, Romain eut envie d'uriner. Il se laissa aller, simplement, loin de toute gêne. Ensuite, il mis la main dans sa poche de blouson pour prendre les clefs de son appartement.

Il découvrit avec surprise un porte-clef qui lui était inconnu. Il était marqué D.L. et n'avait à son anneau qu'une seule clef, qui ressemblait à une clef de consigne, numéro 47. Romain eut beau fouiller de plus belle son blouson, il ne trouva rien d'autre.

« N° 47, une autre aventure » pensa t-il tandis qu'il appelait l'ascenseur.

Foxindiaper

Hummmmm j'adore,a quand la suite...!
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